2*,  2018,  Edité,  Edition,  Numérique,  Policier,  Roman,  Romance

L’écarlate de Venise par Maria Luisa Minarelli.

Venise, 1752. Par une glaciale nuit de décembre, un homme est retrouvé étranglé dans une ruelle. Il est la première victime d’une série de meurtres auxquels Marco Pisani, haut magistrat de la République de Venise, se trouve mêlé.

Idéaliste et passionné, Pisani est un précurseur des Lumières qui a compris depuis longtemps que ce qui est légal n’est pas toujours juste. Amoureux de sa ville, il la voit avec tristesse sombrer dans la décadence. Ses enquêtes ne font que renforcer ce sentiment en levant définitivement le voile sur la part d’ombre d’une société en proie aux conflits familiaux, aux rumeurs destructrices et au vice.

Aidé de son ami avocat Zen, de Nani le gondolier sans scrupule et de la belle et indépendante Chiara, Pisani mène l’enquête sans relâche, des chantiers de l’Arsenal aux prisons du palais des Doges, en passant par les maisons de jeux et les palais de la noblesse… Jusqu’à découvrir la vérité, aussi amère que surprenante.


J’ai été sûrement un des premiers à l’acheter, le jour de sa parution en  Kindle. Et je me suis jeté dessus… J’aime les intrigues, les polars, l’histoire et les egsns en costume. Alors un polar au XVIIIeme, dans la grande Venise, je n’allais pas me priver !

Et ça a super bien commencé. L’histoire des deux meurtres est super bien ficelée. Les personnages facimement identifiables, parfaitement à leur place. On apprend aussi beaucoup sur la vie de Venise à cette époque. bref, tout allait bien. Jusqu’à ce que le personnage principal, sorte de juge, tombe amoureux d’une certaine Chiara. Et là… Badaboum, tout s’écroule. Il ne vit plus que pour sa belle. On l’imagine, bave aux lèvres attendant seulement de la retrouver.

Et alors que j’avais dépassé la moitié du bouquin, j’ai entendu parler du collier rouge de Christophe Rufin. Et j’ai zappé. J’ai abandonné Venise pour les geôles françaises de 1919 et l’écriture fluide de Rufin. Et j’ai avalé le collier rouge comme une cuillère de miel et j’ai délaissé Pisani et sa copine. Et quand j’ai voulu revenir, tout était foutu… J’ai commencé par sauter des paragraphes, puis des pages et des chapitres. J’ai vaguement vu qui était l’assassin, mais vaguement. J’ai trouvé que ça traînait en longueur,que c’était interminable. Alors je l’ai mené à 100 % et je suis à un autre livre plus intéressant.

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